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Compte tenu du succès de ce cours l'année passée et en raison de l’exiguïté de la salle, le nombre de places sera limité. Hâtez vous pour vous inscrire
Pour des raisons personnelles,la plume du blog de Vivre à Brignac s'est arrêtée.
L'évènement ne pouvait passer inaperçu et il fallait rendre un hommage à cette plume, pour les 5 années passées pour écrire jour après jour au moins un article. pour tout le temps consacré à la mise en page de l'hebdomadaire" du Thos aux Catalounes".
Quelques voix se sont élevées sur le blog pour exprimer des regrets de vous voir partir et je les en remercie. Bien sûr vous aviez le savoir faire, mais que de temps consacré bénévolement à l'information de la communauté au détriment souvent de sa propre vie privée.
Pour tout cela MERCI.
Je vous souhaite de retrouver la quiétude de votre foyer, les balades dans la campagne et de pouvoir vivre enfin à deux le reste de votre âge.
Bien, la plume était sur le bureau et malgré moi je l'ai ramassée: le blog doit survivre.
Les articles seront plus rares et le savoir faire viendra peut être.
Mais comme la plume précédente je n'ai pas le temps et il m'est compté, alors si quelque jeune main vive et rapide,veut bien prendre le relais, c'est sans aucun problème que je la lui cèderai.
Tout a une fin. Ma collaboration au blog de « Vivre à Brignac » cesse aujourd’hui 23 février 2012. Pour des raisons de disponibilité personnelle. Après 1 292 publications, qui ont entrainé près de 90 000 visites et la lecture de quelques 350 000 pages, je dois renoncer, désormais faute de temps.
A titre personnel, je remercie les internautes qui ont témoigné, par leur confiance et leur fidélité en tant que lecteurs, du professionnalisme et du sérieux de l’information diffusée presque chaque jour depuis le 11 mai 2007, date de la création de ce blog, et consacrée à la rubrique locale de Brignac et de son environnement.
Certains ne partagent pas ce point de vue. C’est leur droit. Mais, les faits sont les faits, même si parfois ils les contestent ou même les nient. Leur interprétation est forcément subjective. Donc partisane. Qui peut prétendre à l’objectivité ?
D’autant que sur le plan municipal je n’ai jamais masqué ma position, non pas favorable au maire, mais solidaire dans l’action menée au profit de la commune et des Brignacois, tant que celle-ci est restée dans le strict respect des engagements pris en mars 2008.
Je n’ai pas abondé dans les querelles de personnes générées dès les premiers mois de la mandature par ceux-là mêmes qui s’étaient heurtés auparavant au maire précédent, M. Jean-Pierre Caucanas. Elles ne m’ont pas intéressé, même si elles m’ont concerné inévitablement.
Parallèlement, tout en restant membre de l’association « Vivre à Brignac », j’ai signifié à son secrétaire ma démission de la présidence. Pour les mêmes raisons évoquées plus haut.
Enfin, en tant que membre de la municipalité, je me considère désormais comme un simple conseiller jusqu’à la fin du présent mandat ou plus tôt le cas échéant.
André Menella
En ces premiers instants de 2012, tous nos souhaits de bonne année à tous les internautes, lecteurs réguliers de ce blog ou visiteurs occasionnels. Pour vous, vos familles, vos projets. Malgré et précisément à cause des incertitudes soigneusement entretenues par les médias dans une sorte de surenchère cataclysmique.
Aussi, plus que jamais, soyons positifs. Regardons la bouteille à moitié pleine et consacrons tous nos efforts à la remplir chaque jour davantage. Cette année nouvelle nous promet des opportunités à saisir. De nos choix communs dépend notre destin. Profitons-en !
Fidèles lecteurs ou visiteurs occasionnels, nous vous présentons nos meilleurs vœux pour 2011. Que cette nouvelle année vous soit favorable, à vous-mêmes et vos proches.
Pour notre part, nous souhaitons votre toujours plus grand intérêt à l’égard de ce blog consacré à la vie de la commune de Brignac et de ses 588 habitants, chiffre retenu lors du dernier recensement effectué en 2008 et aujourd'hui au-delà des 600 âmes.
Nous souhaitons également à tous nos concitoyens, internautes ou non, une bonne et heureuse année. Très sincèrement.
Pour notre commune, on peut penser, sans jouer les Cassandre, qu’en 2011, l’actualité locale sera plus mouvementée et intéressante qu’en 2010.
L’association « Vivre à Brignac » se porte bien. Merci. Quand on a des projets et des bonnes volontés pour les porter, on peut le dire. Son assemblée générale, tenue vendredi dernier, salle
polyvalente, a permis de constater sa vitalité.
Après le départ d’un certain nombre d’adhérents début 2009, lié au différend surgi alors au sein de la municipalité, il a fallu maintenir. Ce qui a été fait depuis la précédente réunion statutaire. C’est ce qui ressort du rapport moral présenté par le président.
Notre association a été constituée, rappelons-le, pour s’opposer au projet calamiteux de la SAUR d’implanter aux portes du village une unité régionale de traitement des boues urbaines. Elle a été maintenue devant la passivité de la municipalité alors en place et a soutenu, avec l’efficacité
que l’on sait, l’équipe conduite par M. Henry Jurquet.
L’assemblée a réaffirmé, vendredi soir, ce soutien au Maire. Car, celui-ci s’en tient au programme que les électeurs Brignacois ont majoritairement adopté en mars 2008. Ce qui ne semble plus être partagé à ce jour par une « majorité » de conseillers, parmi lesquels ceux qui ne font plus partie désormais de notre association.
L’exercice statutaire écoulé, marqué un instant par le doute, s’est traduit sur trois plans : la communication, la participation et la réflexion.
Par l’intermédiaire du blog à l’adresse des internautes, par celui du bulletin du « Thos aux Catalounes » distribué à l’ensemble de la population, l’association a informé régulièrement les Brignacois des événements qui ont ponctué la vie du village, ainsi que ceux des communes
voisines, susceptibles peu ou prou de les intéresser.
En 12 mois, 287 textes, 138 photos et réponses à plus d’une centaine de commentaires ont été publiés sur le blog. Il a été enregistré par le serveur-support 21 038 visites et 71 263 pages lues, ce qui porte la fréquentation depuis l’ouverture du blog à plus de 58 000 visites et de
261 000 pages lues.
Après un ralentissement au début du 2ème trimestre 2009, concomitant à la « rupture » municipale, la fréquentation a repris son niveau au début du 4ème et a connu, ces 12 derniers mois, une progression de plus de 10%.
Quant au bulletin de liaison du « Thos aux Catalounes », après 11 parutions mensuelles et 6 numéros spéciaux, il est aujourd’hui reconnu et apprécié par la population.
Par ailleurs, « Vivre à Brignac » a adhéré au collectif de défense de l’environnement dans la moyenne vallée de l’Hérault. Ses dirigeants ont pris toute leur part dans son travail de réflexion, de
rédaction, et de démarches engagées à l’adresse des autorités administratives et politiques.
Brignac n’est pas une « ile ». Notre commune est concernée par les projets économiques en gestation dans les communes voisines. Elle doit donc être solidaire.
Ces projets sont les demandes d’extension de carrières exploitées par les sociétés Leygue et Solag, sur le territoire de Saint-André de Sangonis, notamment sur les bords de la Lergue, la modification du PLU de Clermont-l’Hérault en vue de la création de la ZAE de la Salamane et l’implantation de la base régionale de Système U, le barrage de,Carabotte sur l’Hérault et le déni de justice qu’il représente, ainsi que l’extension d’un dépôt de déchets dans l’axe du célèbre chemin de croix à Gignac.
L’objectif de ces interventions : ne pas se laisser faire n’importe quoi, mais le respect des lois et règlements.
Enfin, sur le plan de l’animation, par manque de disponibilité, seule la visite du site d’Aspiran a été organisée au début de l’été dernier. Il en a été rendu compte du succès d’affluence sur le blog. Ajoutons, la participation au stand du collectif de la moyenne vallée de l’Hérault, lors de la fête de
l’environnement, le 9 septembre à Canet.
Aussi la réflexion a porté sur les projets à mettre en œuvre dans les prochains mois. Nous aurons
l’occasion d’en faire état ultérieurement.
Après le rapport moral, le rapport financier, présenté par Jean-Louis Caussel, a permis de constater une situation saine, la rentabilité du blog avec l’appui de la publicité, de décider le maintien des cotisations au niveau de 2008.
Pour mener à bien les actions envisagées, Mme Rose Garceran a accepté de renforcer le conseil administration, dont le tiers des membres était renouvelable selon les statuts. Celui-ci se réunira dans les jours prochains pour se répartir les fonctions et les missions : organiser, recruter, réaliser.
L’assemblée générale annuelle de l’association « Vivre à Brignac » aura lieu, comme le prévoient ses statuts, le vendredi 15 octobre prochain, à 18h30, salle polyvalente. Ainsi en a décidé le conseil d’administration lors sa réunion de rentrée, tenue ce jeudi dernier. Les convocations seront adressées aux adhérents le 30 septembre au plus tard, assorties de l’ordre du jour.
Le conseil d’administration, réuni autour du président, a fait le point des activités menées depuis le 10 juin dernier : tout d’abord sur le plan de la communication à l’adresse des adhérents mais aussi de tous les habitants du village à travers le blog et le bulletin du « Thos aux Catalounes ».
L’audience du blog ne cesse de s’améliorer : + 6.15% le 1er trimestre 2010 par rapport à 2009, + 16.63% au cours du second trimestre. Pour le dernier mois d’août, la fréquentation a progressé de 61.54%. L’une des raisons est l’émoi suscité parmi la population et ,en particulier, la jeunesse par le terrible accident survenu à l’entrée du village, route de Clermont.
Un autre facteur de l’élargissement de l’audience du blog découle de la rubrique « environnement » et de la participation de l’association aux actions et interventions du collectif de la moyenne vallée de l’Hérault. Brignac n’est pas et ne doit pas être un ilot de déshérence. Ses habitants sont concernés par tous les projets qui mettent en cause leur cadre de vie immédiat. Ils doivent savoir ce qui se prépare et en appréhender les conséquences : création de la ZAC de la Salamane, extension des carrières de Saint-André notamment.
Le conseil administration a également fait le point de la sortie, le 4 juillet, au centre archéologique d’Aspiran : un beau succès d’affluence avec plus d’une centaine de visiteurs, à la surprise et satisfaction du conférencier délégué par le CNRS, ainsi que de la participation de l’association à la fête de l’environnement à Canet, le 11 septembre.
Enfin, les administrateurs ont envisagé trois initiatives pour cet automne, durant l’hiver et à l’orée du printemps. La primeur en sera réservée à l’assemblée générale où les candidats à l'adhésion seront les bienvenus.
Ce lundi 24 mai 2010 est le troisième anniversaire de l’ouverture au public de ce blog consacré à la vie de la commune (556 habitants) qui partage le nom de Brignac avec deux autres petits villages de France, Brignac-la-plaine (826 habitants) dans le Limousin et Brignac (227 habitants) dans le Morbihan, en Bretagne.
Durant ces trois ans nous avons tenté et pensons avoir réussi à prouver que vivre à Brignac est une réalité quotidienne, active, dynamique, diverse, multiple, contrastée, riche de faits et parfois de méfaits, d’initiatives mais aussi de querelles, c’est-à-dire que des hommes et des femmes y vivent aussi bien ou mal que partout ailleurs.
En trois ans, nous avons publié sur ce blog près 800 textes, classés aujourd’hui en archives dans 45 rubriques. Ces articles ont été, pour certains, illustrés par plus de 500 photos et ils ont suscité plus de 370 commentaires publiés.
D’après les statistiques d’Over-blog qui l’héberge, ce blog a enregistré, durant ces trois années, plus de 50 000 visiteurs (comptabilisés une seule fois par jour, même en cas de plusieurs connexions) et la lecture de plus de 235 000 pages. Il affiche également un indice de qualité, déterminé également par le support en fonction d’un certain nombre de paramètres, qui n’a cessé d’évoluer de mois en mois pour dépasser aujourd’hui le taux de 70%.
Ce qui traduit de la part des internautes un intérêt affirmé, une confiance dans la sureté de nos informations, de la clarté de nos analyses, ce dont nous les remercions chaleureusement. C’est pour nous le meilleur encouragement de la constance dont nous faisons preuve pour les informer de la vie du village, qu’ils y résident ou soient « expatriés ».
Au cours de ces trois ans, ce blog a évolué peu dans sa forme, mais essentiellement dans son contenu au fil de l’actualité. Tout d’abord, le nombre de rubriques s’est multiplié au rythme des événements, mais aussi parce que le village n’est pas une île perdue au milieu d’un océan, qu’il fait partie d’un canton, d’une Communauté de Communes, d’un arrondissement où il se produit des événements, des manifestations également à connaitre.
Nous avons donc observé ce qui se passe au-delà des limites administratives et qui est susceptible de concerner ou d’intéresser les Brignacois. Mais, aussi et surtout, parce que notre association a un double but :
-d’une part la défense des intérêts des Brignacois, ce que nous avons prouvé, notamment en faisant avorter le calamiteux projet de station régionale de traitement des boues urbaines dans la plaine de la Salamane et en contribuant à l’élection d’une équipe à la mairie en mars 2008
-mais aussi la défense de notre environnement, souci partagé par plusieurs autres associations créées dans les communes voisines. Ce qui s’est traduit par la création d’un collectif, aujourd’hui très vigilant et très actif. Et c’est donc très logiquement que nous rendons compte de ses sujets de préoccupation et de ses initiatives.
La responsabilité de l’éditeur
Une dernière précision de notre part s’impose : un blog est une publication comme une autre, donc soumis aux lois de la presse. L’éditeur est seul responsable au regard de la loi de ce qui y est publié. En cas de plainte, par exemple pour diffamation ou injure, il est considéré comme responsable et peut être poursuivi à titre principal, l’auteur du texte incriminé pouvant même ne pas être inquiété.
Il est donc normal qu’un filtre soit instauré sur un blog pour les commentaires mis en ligne par les internautes. Le ou les responsables du blog ne sont pas en permanence devant leur écran. Si la publication d’un commentaire est instantanée, ceux-ci ne peuvent en prendre connaissance qu’une fois le mal fait. Ce qui nous a valu de la part d’âmes trop bien « intentionnées » le reproche de pratiquer la censure.
De fait, une douzaine de commentaires ont été écartés. Soit, ils étaient illisibles, car écrits en mauvais français, volontairement ou non, et, comme il est impossible – et c’est normal- de modifier un commentaire ne serait-ce que pour corriger une faute d’orthographe, ils n’ont pas été publiés par respect pour le lecteur.
Soit ces textes étaient insultants à l’adresse des responsables du blog et nous n’avons pas l’habitude de tendre la joue. Soit plus grave encore, mettant en doute sans preuve la probité de tel ou tel élu, quelque soit sa position.
D’autres étaient anonymes ou comportaient des remarques, observations ou critiques étrangères au texte au bas duquel ils avaient été inscrits. D’autres, enfin, ont pu être omis involontairement et, dans ce cas, nous prions très sincèrement leurs auteurs de nous en excuser.
« Vivre à Brignac », à l’orée de sa troisième année, se doit de se remettre en cause. Tel est le sentiment retiré de l’assemblée générale tenue vendredi dernier 9 octobre. Une présence moins nombreuse dans la salle, un bilan de l’exercice en demi-teinte, un appel à candidatures au conseil d’administration sans écho.
Les motifs ? Divers : le contrecoup du « schisme » vécu depuis la fin 2008 par la municipalité, dont la majorité des membres sont issus de l’association et ont été soutenus par elle, l’évidence d’une alliance de la carpe et du lapin, le réflexe compréhensible de certains à ne pas vouloir se trouver impliqués dans une querelle qui leur est étrangère, l’affaiblissement du conseil d’administration avec la démission de plusieurs administrateurs, mais toujours membres de VAB, la priorité donnée aux taches municipales par ceux d’entre eux qui œuvrent chaque jour à la mairie.
Il est tout de même des raisons de persévérer. Tout au long des douze mois écoulés, le lien avec les Brignacois, adhérents ou non à l’association, a été maintenu : la publication de plus de 200 articles en un an (plus de 600 depuis 2007) sur le blog à l’adresse des internautes, la distribution chaque mois aux adhérents, comme promis l’an dernier, d’un bulletin d’information « Du Thos aux Catalounes ». Apprécié. Cela a été dit en séance.
Autre initiative unanime : la visite à Midi Libre. Contrariée, il est vrai, ce soir là, par une panne des rotatives. Un second projet, à savoir la visite du site archéologique d’Aspiran, n’a pu aboutir, à cause de la brièveté de la campagne de fouilles, cet été, faute de crédits suffisants. L’élan a été stoppé par l’indisponibilité du président durant plusieurs mois.
André Menella a rendu compte des initiatives prises, le printemps dernier, en concertation avec d’autres associations de la vallée de l’Hérault impliquées dans la défense de l’environnement. Une adhésion au collectif « Avenir de la vallée de l’Hérault », des contacts informels avec celui de la Salamane.
Il a redit les menaces potentielles de projets qui vont bouleverser les paysages autour de Brignac : une nature livrée aux excavateurs du coté de Cambous et une installation aérienne au dessus de l’Hérault, une barre de béton et de tôles sur 600 mètres de long et 15 mètres de haut, au delà de la route directe Clermont-Canet. Sans parler des nuisances conséquentes : bruit et poussière au nord-est, trafic routier intense au sud-ouest.
Vers Saint-André, un bouleversement total et 4 emplois, du coté de Clermont une « dissuasion » touristique, mais à terme 600 emplois, dont on peut en espérer quelques uns pour nos concitoyens, et donc une position évidemment nuancée prise à ce jour : un combat engagé sur le plan administratif, voire si nécessaire sur le plan juridique contre les projets de carrière, une réserve prudente à l’égard des conditions environnementales de la réalisation de la ZAC, mais aussi du conflit politique interne à la municipalité de Clermont-l’Hérault.
A ce propos, le président estime que les opposants au projet de la Salamane doivent avoir la possibilité de s’exprimer ainsi qu’ils l’ont demandé le 18 novembre à Brignac. En application du principe de liberté d’expression. Seule condition à poser aux demandeurs : le respect de l’ordre public et des installations de la commune.
Devant les défis qui ont surgi, l’association qui, ne l’oublions pas, a su venir à bout du projet calamiteux des boues urbaines, sans les « écolos » d’aujourd’hui, a besoin de sang neuf, « étranger » en quelque sorte. Action déjà engagée avec l’amorce d’une campagne d’information.
Ce qui n’est pas incompatible, au contraire, avec des projets susceptibles de consolider les liens entre adhérents. Plusieurs opportunités de sorties en commun ont été envisagées. Enfin, l’appel des cotisations permettra de régulariser les effectifs.
La séance s’est achevée par le verre de l’amitié auquel se sont abstenus ceux dont il est question plus haut et, par là même, exclus.
Rendez-vous vous est donné par notre association, ce samedi 25 avril, à 9h. au bord de la Lergue, au pied du pont de Cambous qui permet à la route de St-André de la franchir. Nous nous proposons, comme les années précédentes, de nous aider à collecter tout ce que le lit de la rivière a charrié au cours de l’hiver ou que des irrespectueux de la nature ont jeté ça et là.
Anciens du village mais et surtout les nouveaux habitants, c’est également l’occasion de nous retrouver pour mener ensemble une action, donc de faire connaissance, de manifester notre intérêt pour la protection de notre environnement désormais commun.
Cela ne sert à rien de se dire scandalisé par le spectacle qu’offrent certains fossés, le bord de chemins de campagne, si l’on ne réagit pas en donnant l’exemple, en mettant en évidence le résultat de cette action, c’est-à-dire le témoignage cette pollution dispersée et sournoise.
Munissez vous de solides chaussures de marche, de gants et de sacs poubelle, voire d’un chapeau si lle soleil de la partie. Ce qui n’est pas assuré par les prévisions météorologiques concernant ce week-end. Si le ciel est seulement gris, aucun problème. S’il pleut, le rendez-vous sera bien entendu remis à une date ultérieure. La décision sera prise dès 9h.
Après la collecte prévue jusqu’à 11h, les participants feront une petite halte aux nouveaux lotissements pour sensibiliser ceux qui sont restés indifférents à cet appel. Puis, ils se retrouveront salle polyvalente pour un apéritif bien mérité.
A cette occasion, ils rencontreront les représentants du syndicat Centre Hérault, partenaire de notre action. Ceux leur feront un exposé sur l’intérêt du tri sélectif et son corollaire la valorisation des déchets avec leur transformation en de nouveaux produits.
A demain donc. Nous comptons sur votre intérêt pour la défense de la nature et en particulier la préservation de l’environnement de notre village.
